Quelle expérience en lien avec l’un de vos livres BoD vous a le plus marqué ? Quel est votre meilleur souvenir de cette année en tant qu’auteur indépendant ?
Avez-vous tenu votre propre livre en main pour la première fois ? Ou éprouvé un bonheur particulier en écrivant ? Avez-vous fini votre premier roman ? Participé à un événement ou fait la rencontre d’un lecteur enthousiaste ?
Retour sur vos expériences
Partagez ce moment spécial avec nous et décrivez-nous votre meilleur souvenir lié à votre livre BoD ou votre activité d’auteur en 2 ou 3 phrases. Profitez de ce concours pour revivre l’année qui vient de s’écouler et repenser aux joies que vous apporte l’écriture.
Pour participer au tirage au sort, postez votre expérience ainsi que le titre de l’un de vos livres BoD avant le 15 décembre 2017, sous cet article ou en commentaire du post Facebook correspondant.
Des box surprises bien-être pour 3 auteurs
Un seul post par participant sera pris en compte. Le 15 décembre à 14 heures, les gagnants seront tirés au sort et immédiatement informés par écrit, nous leur enverrons les colis rapidement, pour qu’ils arrivent pendant les fêtes !

BoD offre trois box surprises pour Noël.
Nous attendons avec impatience vos meilleurs souvenirs liés aux livres et vous souhaitons un bon mois de décembre !
Lire les conditions de participation.
C’était quelques semaines après la sortie de « Même les roses blanches ont des épines ».
J’ai reçu sur ma page fb un message privé d’une jeune femme qui venait de finir le livre et m’expliquait qu’il l’avait beaucoup ému car elle s’était identifiée à Daphné et avait trouvé dans le caractère de Catherine des similitudes avec l’homme qu’elle aimait. Quelques jours plus tard, elle m’écrivait à nouveau pour me dire que cette correspondance lui avait donné le courage de s’exprimer et qu’elle avait écrit à l’homme en question. Il y avait une copie de sa lettre en pièce jointe.
Je crois que cette confiance et cette intimité improbable resteront sans doute un souvenir inoubliable
Dans mon premier livre BoD, un recueil de nouvelles, se trouve une histoire parlant d’une jeune fille qui se retrouve paraplégique après un accident. Un lecteur m’a confié sur un salon que cette nouvelle lui a fait un bien énorme et l’a aidé à considérer son existence autrement. Lui-même papa d’une fille handicapée, il a brusquement réalisé beaucoup de choses et cela a débloqué des verrous en lui.
J’étais terriblement émue. Un souvenir précieux.
Oui, sans conteste aussi pour moi, cette relation écrite et téléphonique avec une lectrice atteinte d’une maladie très très difficile à vivre. Elle avait gardé sur sa table de chevet à l’hôpital mon livre « In manus tuas Domine… » et me disait qu’elle y trouvait du réconfort en le lisant par petits morceaux. Je me souviens m’être dit que même si je n’avais eu que cette unique lectrice, et bien j’aurais été contente… Le livre avait mérité d’être écrit et d’exister rien que pour elle… Pour l’aide qu’il avait pu lui apporter…
Lors de la rédaction de mes 4 e-books avec des conseils dans le domaine d’internet (1 sur la cybersécurité, 1 sur le référencement naturel, 2 en ce qui concerne le web marketing), j’ai pensé aux gens qui ont d’énormes problèmes, des insomnies à cause de personnes malfaisantes utilisant internet et j’ai aussi pensé aux gens porteurs d’un beau projet, qui ont créé leur entreprise et qui ont un chiffre d’affaires très décevant, ce qui les met dans une situation difficile. J’ai souhaité de tout mon coeur les aider, leur retirer une épine du pied, contribuer à leur réussite.
Un roman de fiction historique sur l’esclavage aux Antilles à 23 ans quel audace ! Lors d’une séance de dédicace réalisée en Guadeloupe, j’ai été touché par les lecteurs avides de connaître tous mes petits secrets d’écriture. Grâce à eux, je sais ce que je veux : écrire encore et toujours, leur soutien indéfectible me donne une incroyable force.
Lorsque j’ai publié le livre « Les Centurions », j’ en évidemment parlé autour de moi. Un ami, par gentillesse, a fait l’effort de le lire et m’a confié bien plus tard que ce livre lui avait redonné le goût de lire alors qu’il ne lisait plus depuis bien longtemps. Il dévore depuis toute la littérature qui lui passe entre les mains.
Si ce livre redonne envie à la lecture, c’est déjà une énorme satisfaction.
Cette année, lors d’un salon, j’ai eu l’occasion de lire quelques unes de mes chroniques extraites de mon recueil « Ab’Errances Verbales ». Avant de commencer, je remarque dans l’auditoire un couple dont le mari était endormi. Après mes lectures, ce même couple vient à mon stand et la dame vient me chuchoter ces mots : « vous avez réussi à réveiller mon mari de sa sieste, à le captiver et à le faire sourire, bravo, moi je n’ai jamais réussi… ». Quel fierté ! Le pouvoir des mots est parfois très surprenant et inattendu !
Grâce à BOD, j’ai pu participer au Prix de la nouvelle 2017 organisé en collaboration avec le magazine Femme Actuelle. Le mardi 24 octobre au matin, en ouvrant ma boîte mail j’ai eu le plaisir de lire un message m’annonçant que ma nouvelle avait été sélectionnée et que j’étais le lauréat de ce prix. Merci !
Ce qui est beau avec l’autoédition, ce n’est pas une mais des expériences et des rencontres inoubliables dont l’écriture de « Au dodo, Hugo / A l’eau, Margaux » avec ma compagne aux illustrations…
S’il ne fallait en garder qu’une ?
Eh bien je parlerais de l’atelier d’écriture que j’ai lancé il y a 5 ans… Un groupe de passionnés des mots m’a rejoint et chaque année, l’ensemble des auteurs autoédite un recueil collectif, fruit d’une année de travail… Chacun est l’auteur et je leur apporte les billes pour faciliter la sortie du livre… Et chose la plus belle qui soit : 3 participantes se sont lancées dans l’aventure et ont autoédité leur premier livre seule… Et tout cela chez BOD (Rose Lacroix, Marie Delcourt et Christine Roy-Jouvhomme).
Merci BOD pour tout cela !
Le plus beau souvenir de la dernière dédicace : une personne est venue acheter un livre, puis est revenue un peu plus tard pour en acheter un autre, et ce pour la personne handicapée dont il s’occupait tous les jours… et qui avait été professeur de français… les poésies qu’elle avait dû enseigner avec passion devaient la réconforter à présent dans son fauteuil roulant… quel honneur pour moi..
Le plus beau souvenir pour moi c est quand j’ai rencontré pour la première fois en séance dédicace Bernard Weber que je suis depuis ses débuts avec ses romans. J’adore son univers, son ecriture imagee et ses personnages. On s y attaché. J étais impressionnée et super timide à le rencontrer.
Je ne désire pas participer au concours mais puisque vous le demandez, je suis heureux d’avoir pu publier et faire diffuser mon recueil de nouvelles « Les glaneuses de temps » grâce à BoD, parce que la nouvelle est un genre très négligé en littérature et je trouve ça dommage. J’ai été très heureux de voir que les gens qui ont commenté l’ouvrage ont souvent déclaré qu’ils n’étaient pas vraiment amateurs de nouvelles mais que mon recueil les avaient fait changer d’avis. C’est extrêmement précieux en tant qu’auteur de pouvoir ainsi défendre un genre de littérature que j’aime particulièrement produire. Un petit florilège des commentaires:
« Parfois, on referme un roman et on reste immobile quelques instants, le temps de revenir à la réalité, de quitter un monde et des personnages auxquels on s’était attachés. C’est toujours cette émotion étrange que je ressens quand j’ai terminé un livre qui m’a plu, qui m’a secouée, qui m’a fait réfléchir.
Et c’est cette émotion que j’ai ressentie à la fin de chacune des nouvelles de ce recueil. Des nouvelles qui sont chacune très différentes, qui nous emmènent dans des mondes, des époques et des réalités très diverses. Des pépites de quelques pages, où l’auteur parvient – avec le style poétique que j’avais déjà apprécié dans Le baiser de Pandore – a créer des univers bien distincts, bien réels, des personnages attachants et haut en couleurs, et une atmosphère de mystère et d’étrangeté qui semble conduire l’ensemble du recueil.
Bref, j’ai été envoûtée, moi qui ne suis pas particulièrement amatrice de nouvelles.
La couverture des Glaneuses de temps m’avait vraiment enthousiasmée, et ce qui se trouve à l’intérieur m’a plus que subjuguée… »
« Je ne suis en général pas attirée par les formats courts de type « nouvelles » car l’exercice est périlleux pour un auteur et peu sont ceux qui s’en sortent par le haut. Monsieur Ferrer fait montre d’un savoir faire qui comblera les plus exigeants d’entre nous. Des nouvelles différentes mais reliées par une partition commune sur laquelle on découvre : la nature, les senteurs, les odeurs, les gueules cassées et la problématique du temps, bien sûr. Elles offrent toutes un charme étrange, indéfinissable qui fait que l’on est immédiatement plongé dans une ambiance le plus souvent bien particulière. Tout cela est porté par une très belle plume qui s’adapte à l’environnement qu’elle décrit avec maestria. »
« Je ne suis pas non plus une habituée des nouvelles, mais c’est avec joie que j’ai découvert les glaneuses de temps. toutes ces histoires m’ont intriguée. Mais la dernière est ma préféré.
Peut être justement parce que je suis retraitée et que les jours et les semaines semblent passer à toute vitesse, contrairement aux jeunes qui trouvent le temps long. »
« Souvent les recueils sont inégaux et on en ressort avec un avis mitigé. Ce n’est pas du tout le cas ici. Oui certaines m’ont plus touchée que d’autres mais toutes étaient très bonnes. bien que l’ensemble soit cohérent car l’aspect temporel est bien marqué pour chacune, il n’y a pas de mots permettant de décrire l’ensemble des nouvelles d’un coup. Toutes entrent dans la SFF, mais certaines tendent vers l’historique ou la SF… alors que d’autres sont clairement fantastiques. Chacune des nouvelles a une structure qui à un moment retourne la tête au lecteur, c’est génial, c’est la force du recueil. »
Mon premier tome d’une série d’aventure fantastique intitulé « A la Recherche du Cristal Magique » dans la catégorie jeunesse, a été publié il y a peu de temps. J’ai reçu le premier exemplaire il y a deux jours et le fait de le tenir dans ses mains pour la première fois c’était un moment très émouvant avec beaucoup de fierté. Le soir même, j’ai commencé a en faire la lecture à mes filles qui écoutaient avec bonheur. J’espère que tous les enfants qui liront ou écouteront cette histoire auront beaucoup de joie et prendront goût à la lecture.
Les films hollywoodiens en N & B des années 40 et 50, la littérature américaine du XXème siècle, la musique des années 50 et 60 – voilà ce qui me branchait avant d’écrire. La restauration de ces films en DVD m’a permis de découvrir ou de redécouvrir des films qui ont bercé mon enfance. Si je devais en citer un, je nommerai » L’Enfer est à lui » (1949).James Cagney interprète le rôle de Cody, un petit criminel psychopathe, à l’image des héros et anti héros de mes histoires. Grâce à BoD, je peux partager mon univers avec des milliers de lecteurs.